Interpreting Ceramics | issue 15 | 2013

Conference Papers & Article

 
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From Ceramics to the Bronze Age:

Commercializing Sculpture in the United Kingdom and on the Continent – A Juxtaposition

Part ll

continued

Isabel Hufschmidt

 
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Subversive Ceramics


Claudia Clare


Clashing with Clay Mother: Pueblo potters who subvert the tradition


Moira Vincentelli


The Romance of Old Blue


Anne Anderson


Ceramics in Higher Education


Lauren Hadley


From Ceramics to the Bronze Age:

Commercializing Sculpture in the United Kingdom and on the Continent – A Juxtaposition
Part lI

Isabel Hufschmidt


Bloomsbury in Dorset

 

James King


Reviews:

David Cushway, review of exhibition at Soanes House


Pippa Galpin, book review


Sarah Gee, review of Julian Stair exhibition

Kate Wilson, exhibition review


Tessa Peters, review of Christie Brown exhibition


Kate Wilson, book review

 

NB. A Word document is available to download at the end of each article.
 
     
 

APPENDIX I: Charles Blanc, 'Le Procès Barbedienne', in Gazette des Beaux-Arts, tome 12e, Paris, 1862, pp.384-389.

La chambre des appels de police correctionnelle, présidée par M. Anspach, vient de juger un procès qui intéresse au plus haut point les arts et le public. Tout le monde connaît les belles réductions exécutées d’après l’antique, selon les procédés Collas et Sauvage, par MM. Barbedienne et Defossé, et qui ont tant contribué depuis vingt-cinq ans à éclairer les artistes, à réformer le goût des amateurs. Après avoir établi ces réductions à grands frais, avec des peines infinies, avec des soins qui demandent une connaissance approfondie et un sentiment délicat des lois de la sculpture, M. Barbedienne a vu ses produits, surmoulés, se vendre à vil prix dans les boutiques de ces praticiens italiens qui font profession d’estamper et de contrefaire tous les genres de moulages. A sa requête, ces contrefaçons ont été saisies et ont donné lieu au procès dont nous parlons. La Cour, «considérant que les reproductions qui font l’objet de la plainte en contrefaçon de Barbedienne et Defossé sont les copies d’œuvres de sculpture appartenant au domaine public; qu’elles sont produites, non par le travail personnel de l’artiste dont l’esprit s’inspire de l’œuvre originale, mais par le travail mécanique des appareils brevetés Sauvage et Collas, tombés eux-mêmes dans le domaine public…» a confirmé la sentence des premiers juges, qui avait ordonné la mainlevée des saisies pratiquées et déclaré les plaignants non recevables.

… Il y a vingt-cinq ans, les chefs d’œuvres de la sculpture antique n’étaient visibles, en France, nulle autre part qu’au Louvre; quelques morceaux avaient été moulés, il est vrai, mais des statues, souvent plus grandes que nature, ne trouvaient pas facilement place dans les ateliers des sculpteurs ou des peintres, à plus forte raison dans les étroites demeures auxquelles nous sommes tous condamnés au milieu des grands centres de la civilisation. Ce fut un beau jour que celui où des mécaniciens de génie, Frédéric Sauvage et Achille Collas, déjà inventeurs du physionotype et de la gravure numismatique, découvrirent le procédé merveilleux par lequel la Vénus de Milo, ramenée aux deux cinquièmes du marbre original, apparut tout à coup aux yeux étonnés des artistes, comme s’ils l’apercevaient dans l’éloignement avec la lorgnette retournée du souvenir. Mais que dis-je! au lieu de s’éloigner en se rapetissant, le chef-d’œuvre, cette fois, se rapetissait pour se rapprocher. Il leur était permis de le posséder chez eux, assez grand encore pour conserver la majesté de son style, assez réduit pour être dans leurs mains, pour qu’ils pussent toucher du doigt les finesses et la fierté du ciseau, la dignité et la grâce des accents qui expriment la vie, cette vie idéale que respirent en des couches supérieures les dieux de l’Olympe, les dieux antiques. Ce fut une révélation et une révolution. Désormais, l’antiquité put se faire voir, se laisser comprendre. La Diane Chasseresse, le Faune, l’Achille, l’Apollon, le Thésée et l’Ilissus, la Cérès et la Proserpine du Parthénon, et cette frise mémorable, et tous les marbres de Phidias, devinrent familiers sans cesser d’être sublimes. On les vit sortir du sanctuaire où tant de millions d’hommes n’avaient pu les voir, pour se répandre dans les provinces, passer les monts et les mers et aller convertir ou préparer à la religion du beau les nations les plus indifférentes, les plus éloignées de la lumière. Bientôt, à force de regarder aux étalages de Barbedienne, les Parisiens s’initièrent peu à peu à l’intelligence des grandes et belles choses. Auparavant ils achetaient ces bronzes camelotés, sans caractère et sans nom, qui ont si longtemps infesté notre industrie et qui sont le contre-pied de l’art, l’inverse du beau, le rebours du style; maintenant, ils préféraient, à prix égal, des modèles consacrés par deux mille ans de gloire, et ils étaient tout surpris de les admirer. C’était là un événement prodigieux; jamais rien d’aussi considérable n’avait été fait pour l’éducation de la jeunesse et pour la moraliser; car il ne faut pas douter un instant que la présence de tant de chastes divinités n’élève l’âme et ne la purifie. Eh bien! ces magnifiques résultats sont aujourd’hui compromis, et nous sommes menacés de perdre les fruits de l’invention qui fait peut-être le plus d’honneur au génie moderne.

… Le travail du réducteur est-il un travail purement mécanique et peut-il être assimilé en quelque manière à une œuvre d’art? En d’autres termes, M. Barbedienne a-t-il créé un objet nouveau en produisant une réduction de l’antique?

… Maintenant, comment s’opère le travail préparatoire? par une machine. Mais une machine n’est jamais parfaite: à tout moment elle peut se déranger, se précipiter ou se ralentir; il faut donc constamment la surveiller; il faut la conduire, la rectifier, surtout si elle est grande, car plus les machines sont grandes, plus elles ont chance de varier et plus grandes sont les erreurs qu’elle commettent. Il y a donc là une incessante intervention de l’esprit, une continuelle coopération du sentiment; mais ce n’est rien encore. Pour mener à bien une besogne aussi compliquée, aussi délicate, le réducteur est obligé de diviser le plus possible le modèle qu’il veut réduire, à peu près comme le mouleur est tenu de fragmenter son moule. Quand toutes les parties sont achevées séparément, il reste à les rassembler, à rajuster avec précision tous les morceaux, à réparer les imperfections inévitables du travail mécanique. Il y a plus: il peut arriver souvent et il arrive que deux morceaux contigus ne viennent plus s’adapter exactement l’un à l’autre; et cela parce que deux erreurs se sont produites dans les deux pièces, en sens contraire, la première étant plus étroite justement là où la seconde est plus large. Il faudra corriger cette double différence, si tant qu’il ne faille pas recommencer toute l’opération. Or, je le demande, n’est-ce pas là le travail d’un artiste? … la réduction d’une statue ne saurait être le pur résultat d’une machine en mouvement: il y faut l’intelligence de l’homme, le concours de sa main et de ses connaissances, l’appoint de son sentiment.

… On le voit, les réductions que M. Barbedienne a répandues dans le monde des arts sont d’une manière de création. C’est une seconde vie donnée au chef-d’œuvre.

… Et pourtant que va-t-il résulter de l’arrêt que vient de rendre la cour d’appel? Les surmouleurs étant renvoyés de la plainte, ni M. Barbedienne ni personne après lui ne voudra entreprendre à l’avenir une réduction nouvelle. Tout réducteur se dira: Pourquoi tenterais-je de fabriquer un modèle encore inédit d’après Donatello ou Ghiberti, d’après Lepautre ou Coustou? Quand j’aurai dépensé trente ou quarante millefrancs pour établir des creux, un passant entrera chez moi, m’achètera cent francs une épreuve, en fera un surmoulage et vendra à vil prix ce qui m’a coûté tant de peines, tant de soins et tant d’avances! Autant vaut briser mes machines. – C’est le raisonnement bien naturel que feront désormais les réducteurs, et voilà une invention admirable réduite à néant, un instrument merveilleux de civilisation brisé à jamais.

… Sans être une œuvre de génie, la réduction de Collas est à sa manière une œuvre d’art par les difficultés qu’elle présente, par l’invention qu’elle exige d’un artiste habile, et surtout par l’influence qu’elle peut avoir sur la civilisation future. Elle est une œuvre d’art comme une traduction de Virgile est une œuvre littéraire. A tant de titres, elle doit être considérée comme une novation et elle doit être protégée, non pas seulement dans l’intérêt de M. Barbedienne ou de tout autre, mais dans l’intérêt de tout le monde. 1

English version

The Chamber of Appeal of the police correctionnelle, under the presidency of Mr. Anspach, recently pronounced judgement in a trial which extremely concerns the arts and the public. Everybody knows the beautiful reductions after ancient works by Barbedienne and Defossé executed with the help of the procedures of Collas and Sauvage which, since 25 years, have contributed to illuminate the artists and to reform the amateurs. After having produced these reductions with high expenses, with infinite efforts, with a care requiring a profound knowledge and a fine sensibility for the laws of sculpture, Mr. Barbedienne saw how his products were sold as surmoulages at a ridiculously low price in the shops of Italian artisans whose profession it is to press and forge all kinds of moulds. Upon his request, these fakes have been confiscated and were the cause for the trial in question.

The court, “considering that the reproductions, subject of the accusation of fake posed by Barbedienne and Defossé, are copies of sculptural works belonging to the public domain; that these have not been produced throughout the personal work of the artist whose spirit is inspired by the original work, but through the mechanic work of the patented apparatus of Collas and Sauvage which themselves have fallen into the public domain...”, confirmed the decision of the supreme judges which had cancelled the  executed confiscations and had rejected the plaintiffs.

…25 years ago, the masterpieces of ancient sculpture weren't on display anywhere else than at the Louvre; some pieces had been moulded, that's true, but statues, often bigger than life-size, didn't find simply their place in the studios of the sculptors or painters, not least because of the narrow homes to which all of us are condemned in the huge centres of civilization. It was on a beautiful day like this that mechanics of genius, Frédéric Sauvage and Achille Collas, already inventors of the pysionotype and numismatic engraving, discovered the marvellous procedure by which means the Venus of Milo, reduced down to 2/5 of the original in marble, appeared suddenly before the surprised eyes of the artists, as if they would see it through opera glasses from the distance, returned from memory. But what am I saying! instead of getting remote via its reduction, this time the masterpiece scaled down to come nearer. It was them allowed to possess it, still big enough to keep the majesty of its style, reduced enough to lie in their hands so that they could touch with their fingers the delicacies and the pride of the chisel, the dignity and grace of the accents expressing life, this ideal life respired in the upper spheres by the gods of the Olympus, the gods of antiquity. It was a revelation and a revolution. From now on, antiquity could become visible, making itself understood. The huntress Diana, the Faun, Achilles, Apollo, Theseus and Ulysses, Ceres and Proserpine of the Parthenon and this memorable frieze and all the marble works by Phidias became familiar without ceasing to be sublime. One saw them leaving from their sanctuary where millions of people hadn't been able to see them, to spread in the provinces, to cross the mountains and seas and convert or prepare the nations the most indifferent and most remote from illumination for the religion of the beautiful. Soon, throughout the contemplation of the displayed products of Barbedienne, the Parisians made themselves familiar with the comprehension of the grand and beautiful things. Before, they had purchased these rubbish bronzes without character and without name which have haunted our industry for so long and which are the contrary of art, the contrary of the beautiful, the contrary of style; now they preferred models at the same price which had been blessed by 2000 years of glory, and they were surprised to admire them. This was a wonderful event; there had never been done anything similarly remarkable for the instruction of the youth and for their moral education; because you mustn't doubt any moment that the presence of so many chaste divinities raise sand purifies the soul. Well! These magnificent results are in danger, and we are menaced by loosing the fruits of the invention which does the greatest credit to the modern genius.

… Is the work of a réducteur a purely mechanic work, and may it be in any way assimilated to a work of art? In other words, did Mr. Barbedienne create a new object by producing the reduction of an ancient work?

… Now, how does the preparatory work proceed? by a machine. But a machine is never perfect: in every moment disturbances can occur, it can accelerate or slow down; one has to supervise it all the time then; one has to lead, correct, especially when they are big, because the bigger the machines are, the more they can deviate and the bigger are the mistakes they commit. There is then the incessant intervention of the mind, a continuous cooperation of the sentiment; but this is nothing at all. To ensure that a such complicated and delicate work is brought to a good end, the réducteur has to divide the model he wants to reduce into single parts as far as possible, just like the moulder is meant to divide the mould. When all parts are separately finished, they have to be reassembled again, all parts have to be brought into line with precision, the inevitable mistakes of the mechanic work have to be corrected. Furthermore: it may occur, and it occurs, that two matching pieces don't match precisely any more; and that because two mistakes occurred in the two pieces, in the contrary sense, because the first is too small where the second is too big. One will have to correct this double difference, but in the way that the work mustn't be started anew. Now I am asking, isn't that the work of an artist? […] the reduction of a statue cannot be the result of a machine in mouvement alone: it needs man's intelligence, the cooperation of his hand and of his knowledge, the support of his sentiment.

… You see, the reductions Mr. Barbedienne has distributed in the world of the arts are a kind of creation. It's a second life which has been given to the masterpiece.

… However, what will follow after the judgement pronounced by the Court of Appeal? After the surmouleurs had been acquitted, neither Mr. Barbedienne nor anyone after him would want to undertake any new reduction. Every réducteur would say to himself: Why should I try to produce a model after Donatello or Ghiberti, after Lepautre or Coustou yet unpublished? After having spent 30 or 40 thousand francs to make the moulds, a passer-by will enter at my place, purchase a copy, make a surmoulage of it and sell at a ridiculous price what had cost me so much effort, so much care and such high expenses! I might as well destroy my machines. - That's the natural conclusion the réducteurs will draw from now on, and here an admirable invention is reduced to nothingness, a wonderful instrument of civilization destroyed for good.

… Without being a work of genius, the reduction after Collas is an art work of its own kind by the difficulties it offers, by the invention it requires from the capable artist, and especially by the influence it can have on future civilizations. It is an art work like the translation of Virgil is a literary work. It must be considered as an innovation in so many ways and it must be protected, not only in the interest of Mr. Barbedienne or anybody else, but in the interest of all.

APPENDIX II:  Gustave Planche, 'L'art et l'industrie', in: Revue des deux mondes, t. X (sec. pér.), Paris 1857, pp.185-210.

Sur le sujet même du livre, sur l’union des arts et de l’industrie je ne partage pas l’avis de M. de Laborde, et plus d’une fois déjà j’ai dit ce que j’en pense. L’auteur croit que l’industrie peut être pour l’art un puissant auxiliaire; il souhaite que l’art soit vulgarisé par l’industrie, il espère que son vœu s’accomplira dans un avenir prochain.

… ce qu’il espère, c’est une alliance dont il n’a pas mesuré les dangers. Je comprends tout autrement l’union de l’art et de l’industrie. Que l’art guide et gouverne l’industrie, qu’il intervienne dans l’orfévrerie, dans l’ébénisterie, à la bonne heure; que les sculpteurs fournissent aux industriels des modèles d’un style élevé, que ces modèles soient reproduits fidèlement par des ouvriers habiles et dociles, rien de mieux. Ce n’est pas ainsi, il est vrai, que M. de Laborde entend l’union de l’art et de l’industrie. Il veut que l’industrie vulgarise les œuvres de l’art, toutes sans distinction, pourvu qu’elles soient belles.

… Il [De Laborde] aime l’art d’un amour sincère, mais il se méprend sur la nature des moyens qui peuvent propager le sentiment du beau et améliorer la condition de ceux qui se donnent pour mission de l’exprimer. Il est à souhaiter sans doute que l’argent fondu, ciselé ou repoussé offre au public des formes élégantes, et pour atteindre ce but, il faut recourir à des artistes habiles, à des artistes qui aient étudié les œuvres de l’antiquité, de la renaissance. Ce sera pour l’industrie un avantage évident; …

S’agit- il de réformer le goût public? Ce n’est pas en multipliant par des procédés économiques les plus belles œuvres de la sculpture qu’on accomplira ce dessein, assurément très louable. ...

Je ne veux pas proscrire d’une manière absolue l’union des arts et de l’industrie: le bon sens, l’évidence, seraient contre moi; mais je crois vaines et chimériques les espérances de l’auteur.

L’avenir que rêve M. de Laborde ne me séduit pas, je l’avoue franchement: ce qu’il souhaite ne s’accomplira pas; mais si, par malheur, ses vœux venaient à s’exaucer, les arts du dessin seraient placés dans une déplorable condition.

… La peinture et la sculpture, vulgarisées comme l’écriture et l’orthographe, comme des notions de première nécessité, ne sont pas pour moi l’âge d’or.

… on ignore ou l’on feint d’ignorer que le luxe à bon marché est une source de corruption pour le goût comme pour les mœurs.

English version

Regarding the proper subject of the book, the union between the arts and industry, I don't share Mr. De Laborde's opinion, and more than once I declared what I think about it. The author thinks that   industry can be a powerful means for the arts; he wishes that art will be distributed by industry, he hopes that his wishes will be fulfilled in the near future.

… what he hopes for is an alliance whose dangers he hasn't realized. I understand the union of art and industry in a totally different way. That art may, and rightly so, lead and govern industry, that it may mediate in goldsmithing and artistic joinery; that the sculptors may provide the industrialists with models, that these models may be reproduced with fidelity by qualified and obedient workers, nothing would be better. It is not like this, that is true, how Mr. De Laborde understands the union of art and industry. He wants that industry vulgarizes the art works, all without exception, presupposed they are beautiful.

… He [De Laborde] loves art with a sincere love, but he is mistaken about the nature of the means which can propagate the sensibility for the beautiful and improve the conditions of those who charge themselves with the mission to express it. It is undisputedly desirable that the melted, chiselled and embossed silver offers elegant forms to the public, and to reach this goal, one has to make recourse to qualified artists, artists who have studied the works of antiquity, the Renaissance. This will be an evident advantage for industry; …

Is it about reforming public taste? It is not by multiplying the most beautiful works of sculpture by economic procedures that this aim, certainly very commendable, will be accomplished. ...

I don't want to forbid the union of art and industry in an absolute way: good sense, certainty, would be against me; but I believe the author's hopes to be vain and chimerical.

I have to admit frankly, the future Mr. De Laborde is dreaming of does not seduce me; what he wishes won't be accomplished; but if, unfortunately, his wishes will be fulfilled, the arts will be set in a pitiable condition.

… Painting and sculpture, generally distributed like writing and orthography, like elementary knowledge of primal necessity, don't mean the Golden Age to me.

… one does not know or pretends not to know that cheap luxury is a source of corruption for taste and mores.2


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Notes

1 Charles Blanc, 'Le Procès Barbedienne', in Gazette des Beaux-Arts, tome 12e, Paris, 1862, pp.384-389.

2 Gustave Planche, 'L'art et l'industrie', in: Revue des deux mondes, t. X (sec. pér.), Paris 1857, pp.185-210.

 
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From Ceramics to the Bronze Age: Part 2 • Issue 15

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